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Musée de Port-Royal des Champs
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Musée de Port-Royal des Champs
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Musée de Port-Royal des Champs博物馆
地址:Route des Granges 78114 Magny-les-Hameaux
电话:01 39 30 72 72 传真:01 30 64 79 55 邮件:musee.port-royal@culture.gouv.fr
官方网:http://www.port-royal-des-champs.eu/

开放时间:
- 博物馆: 每天开放,周二休息
11月到3月31号: 10点到12点,下午14点17点半,周末10点半到晚18点
4月1号到10月31号:10点半到12点半,下午14点到晚18点,周末10点半到晚18点半

- 被毁僧院: 周末, 下午13点到晚18点,4月1号到10月31号18点半关门; 其他工作日只允许有预约的团体人参观.
每年12月21号到1月4号休息.

Musée 和 abbaye(僧院) 门票:
全票:4,50 €,半票:3,00 €,团体票: 4,00€ (10人起),公园1欧;每年首周日免费参观。

交通:
快线RER C, Saint-Quentin-en-Yvelines站下车,或 快线RER B, St-Rémy-les-Chevreuse底站下车;然后乘坐SAVAC大巴 到LesGranges de Port-Royal 或者乘坐BUS 464号 Buloyer下车;周日,可乘坐St-Rémy-les-Chevreuse站的Baladobus。



历史:按时间顺序排列历史Repères chronologiques: http://www.port-royal-des-champs.eu/reperes-chronologiques.html

Avant le XVIIe- Des origines à la réforme (1204-1609)- Fondation de Notre-Dame de Porrois
L\'abbaye Notre-Dame de Porrois fut fondée en 1204 par Mathilde (ou Mahaud) de Garlande, veuve de Mathieu de Montmorency, mort à Constantinople au cours de la quatrième croisade. Elle acquit le fief de Porrois à Milon de Voisins, et avec l\'appui d\'Eude de Sully, évêque de Paris, y fit établir une communauté de femmes. Affiliée à Cîteaux dès 1209, la nouvelle abbaye fut officiellement reçue au sein de la congrégation en 1225 par le Chapitre général, et placée sous l\'autorité de l\'abbé des Vaux-de-Cernay.

L\'imposante église abbatiale fut consacrée le 25 juin 1230, et l\'abbaye prospéra grâce aux libéralités des seigneurs locaux. Son temporel s\'étendait dès la fin du XIIIe siècle jusque dans les faubourgs de Paris. L\'abbaye de Port-Royal n\'échappa toutefois pas au déclin général des institutions régulières au cours des XIVe et XVe siècle. Au XVIe siècle, les abbesses Jeanne de la Fin I (1513 à 1558), et Jeanne de la Fin II sa nièce (cat. 9), reconstituèrent patiemment le temporel de l\'abbaye, et entreprirent des premiers travaux dans l\'église et les bâtiments conventuels.

Réforme catholique- Port-Royal et la Réforme catholique (1609-1647)
Les religieuses de Port-Royal
La Réforme catholique, consacrée par le Concile de Trente, avait gagné tardivement la France, en raison des troubles des Guerres de religions, et de l\'essor de la pensée gallicane. La pacification du royaume par Henri IV favorise le mouvement de réformes des établissements religieux du royaume.

Mère Angélique et la réforme du monastère
Fille d\'un avocat célèbre, Jacqueline Arnauld – Mère Angélique – devient coadjutrice de la vieille abbesse, Jeanne de Boulehart en 1599, à sept ans et demi, puis abbesse de l\'abbaye cistercienne de Port-Royal en 1602 à l\'âge de onze ans. En 1608, elle entreprend la réforme de l\'établissement, en rétablissant la stricte observation de la règle de saint Benoît, la pauvreté, la vie communautaire et la clôture. Port- Royal est la première communauté de femmes réformée en France.

Port-Royal de Paris
En 1625, la mère Angélique obtient la permission de créer un second établissement à Paris dans le faubourg Saint-Jacques. L\'abbesse demande la séparation de Cîteaux et place l\'abbaye sous la juridiction de l\'ordinaire. En 1629, elle obtient du roi Louis XIII la permission pour la communauté d\'élire son abbesse, et démissionne en juillet 1630. La direction spirituelle de la communauté est assurée, vers 1635, par l\'abbé de Saint-Cyran.

En 1647 le monastère prend le nom de Port-Royal du Saint-Sacrement, et les religieuses reçoivent le scapulaire blanc avec une croix rouge sur la poitrine, qui remplace le scapulaire noir des cisterciennes.

Deux monastères, une communauté
Le 13 mai 1648, la mère Angélique revient à Port-Royal des Champs avec plusieurs religieuses. Une partie de la communauté se réinstalle aux Champs à la fin de la Fronde en 1653. L\'abbaye des Champs vit désormais en étroite relation avec l\'abbaye parisienne, alors que les premières mesures de Mazarin, puis du jeune roi Louis XIV, commencent à s\'abattre sur les jansénistes.

Les Solitaires aux Champs
Réunis à Paris à partir de 1637, les solitaires s\'installent l\'année suivante à Port-Royal des Champs, dans l\'abbaye abandonnée par les religieuses. Sous l\'influence de Saint-Cyran, des personnalités laïques ou ecclésiastiques, parents pour la plupart de la mère Angélique, comme ses neveux Antoine Le Maître ou Louis-Isaac Le Maître de Sacy, le médecin Jean Hamon, le grammairien Claude Lancelot, le moraliste Pierre Nicole..., y mènent une vie d\'étude et de prières. Ils entretiennent les bâtiments, font drainer le fond du vallon et entreprennent de rehausser le sol de l\'abbatiale. Au retour des religieuses en 1648, les Solitaires se retirent dans la ferme des Granges.

Les « Petites écoles »
Sous l\'impulsion de l\'abbé de Saint-Cyran, directeur spirituel de la communauté des religieuses de Port-Royal, les Solitaires se consacrent dès 1637 à l\'éducation des enfants et créent les « petites écoles ».

Chaque maître est chargé de 5 à 6 enfants au plus. La matinée, commencée à 5 h et demie, est consacrée à la version latine. Après le repas à 11 h et la récréation au jardin, l\'après-midi est consacrée à l\'histoire ou à la géographie pendant une heure, puis à la poésie ou au grec.


L\'enseignement est complet et donné pour la première fois dans des manuels en français rédigés spécialement par les Messieurs de Port-Royal : écriture, lecture et diction, grammaire, latin, grec, histoire, géographie...

« Comme ces écoles étoient plus pour la piété que pour les sciences, on ne pressoit pas si fort les enfans pour les études, dont on leur donnoit cependant de solides principes. »

En 1651, le succès de leur enseignement incite les Solitaires à construire un bâtiment destiné à un pensionnat de garçons, accueillant chaque année une trentaine d\'élèves.


Le Jansénisme en France au XVIIe siècle
Aux origines du Jansénisme
Au début du XVIIe siècle, l\'Église française se préoccupe davantage de réformes et de renouveau spirituel que de questions dogmatiques. Toutefois, la controverse avec les protestants a ouvert un courant en Sorbonne – alors faculté de théologie – attaché à l\'étude des écrits des pères de l\'Eglise, particulièrement saint Augustin, pour les questions liées à la Grâce. La publication de l\'Augustinus de Cornelius Jansen (1640), son succès en France au moment de la mort de Richelieu (décembre 1642) ouvre une ère de polémique dans les rangs des théologiens français, avec, notamment, la publication, en août 1643, de la Fréquente communion d\'Antoine Arnauld, docteur de Sorbonne et frère de la mère Angélique.

Condamnation romaine et polémique en France
A la demande de la Sorbonne, le pape condamne, en 1653, cinq propositions jugées extraites de l\'Augustinus. Loin de clore la controverse, la bulle Cum occasione attise une polémique violente, menée par Antoine Arnauld. En 1655, dans sa Lettre à une personne de condition et sa Seconde lettre à un duc et pair, Arnauld accepte la condamnation des Cinq propositions, mais garde sur leur attribution à Jansénius un silence respectueux. Obligée de prendre parti, la Sorbonne choisit d\'exclure, en 1656, Antoine Arnauld et avec lui une centaine de docteurs – le tiers de ses membres. Les débats orageux dont les Provinciales (1656-1657) se font l\'écho, font connaître à un plus large public le contenu du « Jansénisme », cette hérésie condamnée par Rome.

Formulaire et « Paix de l\'Eglise »
La première année de son règne personnel en 1661, Louis XIV obtient de l\'assemblée du Clergé de France, un formulaire destiné au clergé séculier, consignant l\'adhésion de cœur et d\'esprit à la condamnation pontificale de Cinq propositions. L\'édit royal du 29 avril 1664 tente de mettre fin au silence respectueux et impose une signature sans restriction du formulaire.

Sous l\'impulsion du pape Clément IX, Rome obtient l\'apaisement en France en 1668 pour une dizaine d\'années. Dès la paix de Nimègue signée en 1679, le roi de France reprend l\'offensive ; contre les protestants en révoquant l\'édit de Nantes en 1685, puis contre les jansénistes qui s\'exilent massivement.

Le Jansénisme en France au XVIIIe siècle

La bulle Unigenitus et les convulsions de Saint-Médard
A la fin de son règne, Louis XIV cherche à obtenir du pape une condamnation claire des thèses jansénistes, faisant l\'unanimité dans le clergé de France. Fulminée en 1713, la bulle Unigenitus (1713) condamne 101 propositions réputées hérétiques dans le Nouveau testament avec des réflexions morales... du P. Quesnel.

La nouvelle condamnation soulève les protestations de plusieurs évêques qui veulent réunir un concile général des évêques du royaume, et s\'accompagne, en 1731, de scènes de convulsions et de guérisons miraculeuses sur la tombe d\'un diacre janséniste, François de Pâris, au cimetière de Saint-Médard à Paris.

Le jansénisme, du religieux au politique
Si la condamnation des quatre évêques appelants et la mort du cardinal de Noailles en 1729, marquent la fin du jansénisme épiscopal, le combat se transporte au sein des parlements, qui font de la tentative du clergé de contrôler les milieux jansénistes une affaire d\'ordre public.

Avec la crise parlementaire (1756) et l\'attentat de Damiens contre Louis XV (1757), les parlementaires jansénistes abandonnent le terrain de la lutte contre l\'Unigenitus pour concentrer leurs attaques contre les jésuites. La suppression de la Compagnie en France (1764), achève de séparer le Clergé du pouvoir royal et renforce les velléités politiques des parlements.

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